Le bien-être et la beauté dépendent
de la santé morale et physique de chaque personne
La médecine intégrative est pluri et transdisciplinaire. Elle est basée sur une vision globale et non fragmentaire de la personne. En se concentrant sur des fragments de plus en plus petits de l’organisme, la médecine moderne a perdu de vue le patient dans sa globalité en réduisant la santé à un fonctionnement mécanique. La médecine pratiquée aujourd’hui a des difficultés à appréhender l’interdépendance entre le corps et l’esprit.
La philosophie cartésienne a coupé les êtres humains de leur contexte sociaux et religieux familiers. Or comme le définit si bien l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) « la santé est un état de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas en l’absence de maladie ou d’infirmité. »
C’est pourquoi je préconise un bilan de santé qui prend en compte les aspects suivants, indissociables les uns des autres:
– l’aspect prédicatif
grâce à une étude du génome propre à chaque individu, il est possible de prodiguer des recommandations spécifiques et personnalisées.
– l’aspect préventif
grâce à une série de bilans tels que l’étude du terrain, physiologique et nutritionnelle, un diagnostic basé sur des données chiffrées permet de personnaliser au mieux une ordonnance santé-beauté.
– l’aspect environnemental
grâce à cette dimension, dont on tient rarement compte, il est possible de mieux comprendre et donc de mieux réagir contre les influences néfastes de l’environnement. (L’eau du robinet, l’air que l’on respire dans la maison, la pollution de l’air autour de chez soi ou à son travail.
Ces trois aspects sont nécessaires pour pratiquer une médecine prédicative, préventive et tout simplement intégrative.
La médecine esthétique intégrative que je pratique tente à mobiliser et responsabiliser les personnes qui font la démarche de venir à mon cabinet en tous les cas je l’espère.